mercredi 31 octobre 2012

Un nouveau duel Messi-Ronaldo ?

Un nouveau duel Messi-Ronaldo ?

Cette année encore, la lutte pour la Ballon d'Or devrait se résumer à une bataille à deux entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo. (Reuters)
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La liste des 23 joueurs retenus pour le Ballon d’Or a été rendue publique ce lundi. Triple lauréat, Lionel Messi fait figure de favori, malgré la présence de sept joueurs espagnols sacrés champions d’Europe cet été. L’un d’eux peut-il lui succéder ?
Meilleur buteur de la Liga, dont il a explosé le record de buts en une seule saison (50), Lionel Messi a été élu Soulier d’Or européen. L’Argentin, qui n’a gagné que la Coupe d’Espagne en 2012, est dans la même situation que Cristiano Ronaldo la saison passée, à la différence notable que le Portugais, s’il l’a devancé en Liga, n’a pas gagné la Ligue des champions, ce qui aurait sans doute mis fin au débat. L’attribution du Ballon d’Or promet donc d’être serrée entre ces deux monstres.
Les Espagnols, sacrés champions d’Europe cet été, ne se font probablement pas trop d’illusions. Iker Casillas, Sergio Ramos et Xabi Alonso, qui ont réussi à faire le doublé Liga-Euro, ont des rôles défensifs qui ne leur permet pas d’attirer l’attention sur eux. Xavi, moins en vue qu’il y a quelques mois, Sergio Busquets et Andres Iniesta, pâtissent eux de la concurrence de Messi, qui éteint leurs performances en club en étant à la finition des actions, là où la lumière se fait. En outre, les triomphes de la Roja sont construits autour d’un collectif bien huilé, et ne sont pas dépositaires d’un seul joueur. L’ensemble est tellement brillant qu’on ne voit presque pas la différence quand l’un d’eux est absent.

Ma voix pour "San Iker"

Malgré tout, j’aimerais sans objectivité aucune que le lauréat soit Iker Casillas. Bien que je ne me fasse que peu d’illusions quant à ses chances d’être élu en janvier prochain, j’estime que le portier de la Roja mérite cette distinction pour l’ensemble de sa formidable carrière. Double champion d’Europe et champion du monde en titre avec l’Espagne, titulaire au Real Madrid depuis des lustres et leader charismatique, "San Iker" est aussi et surtout un gardien formidable, capable de sauver son équipe du naufrage à plusieurs reprises. Certes, il est moins exposé que s’il jouait dans une équipe faible, mais sa copie est très souvent parfaite, même si ce perfectionniste préfèrera toujours jouer la carte de la modestie et du collectif.
Le couronner permettrait de mettre en lumière un poste essentiel, bien que moins sexy que celui d’attaquant que rêvent d’occuper les gamins du monde entier. Enfin, cela permettrait de rayer un nom de la liste des joueurs qui méritaient cette distinction sans jamais avoir pu la toucher : Raul, Thierry Henry, Oliver Khan, Paolo Maldini… Ne pas finir aux côtés de ces grands noms de l’Histoire du football, c’est tout le mal que je lui souhaite. A défaut, il pourra toujours se consoler dans les bras de Sara Carbonero. Il y a pire comme sanction...

source   www.football.f

Entraîneur de l'année: le hold-up de Di Matteo

Entraîneur de l'année: le hold-up de Di Matteo ?

Tout sourire, Roberto Di Matteo pourrait l'être au moment de la remise du trophée de l'entraîneur de l'année. (Reuters)
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La liste des dix nommés pour le titre d’entraîneur de l’année est désormais connue. Neuf des candidats sont habitués à figurer parmi le gotha européen, tandis qu’un invité surprise se voit récompensé d’une ascension fulgurante depuis quelques mois. Son nom, Roberto Di Matteo, le coach de Chelsea. L’entraîneur des Blues peut-il coiffer tout le monde sur le fil ? 
En début d’année, Roberto Di Matteo n’était que l’entraîneur-adjoint d’André Villas-Boas à Chelsea. Quand les dirigeants londoniens ont décidé de se séparer du Portugais, ils ont confié par défaut les clés de l’équipe première à l’Italien plus que par réelle conviction. Ils n’ont pas eu à le regretter. Contrairement à son prédécesseur qui se privait d’eux comme pour marquer son territoire, Di Matteo a immédiatement compris qu’il devait utiliser les "historiques" du club comme Didier Drogba.
L’Ivoirien, remis en confiance, a alors été le grand artisan de la victoire en FA Cup, et surtout en Ligue des champions, une compétition dont rêvaient les Blues depuis des lustres, sans jamais toucher au Graal. Et si on pouvait lui attribuer le mérite de ces deux succès, sans pouvoir réellement mesurer l’impact de Di Matteo, on s’aperçoit en ce début de saison que l’Italien a réussi à faire de Chelsea une équipe compétitive dans la durée, et pas seulement une équipe de coupe.

Une équipe qui a de l’avenir

En quelques semaines, Di Matteo a réussi à transformer le jeu de Chelsea. Il ne lui a fallu qu’une poignée de matches pour mettre en confiance ses nouveaux joyaux, comme Eden Hazard ou Oscar. Ces deux joueurs symbolisent le nouveau visage des Londoniens: plus jeunes, plus rapides et plus doués techniquement qu’auparavant, où les anciens pensionnaires de Stamford Bridge étaient craints avant tout pour leur goût du combat et de l’effort. La montée en puissance des éléments déjà présents comme Ramires ou Juan Manuel Mata a fait le reste, faisant de Chelsea le leader du championnat anglais, et un candidat sérieux dans la course au titre en Premier League.
Les plus sceptiques pourront toujours dire que n’importe qui réussirait avec autant de talents à disposition, et que l’Italien ne joue finalement qu’un rôle de "GO au Club Med". On disait la même chose au Real Madrid lorsqu’avait été limogé Vincente Del Bosque, en 2003, après un titre de champion d’Espagne. Le même Del Bosque qui a réussi à faire de l’Espagne le champion du monde et d’Europe en titre… Bref, s'il ne sera probablement pas couronné, Di Matteo a au moins officialisé son entrée dans la cour des grands en s'invitant dans le top 10 de l'année. En neuf mois, l'exploit mérite déjà le plus grand respect.

source   http://www.football.fr 

mardi 30 octobre 2012

les 23 celectionnes pour le ballon d or 2012

La FIFA et France Football ont dévoilé ce lundi la liste officielle des 23 joueurs pré-sélectionnés pour l'attribution du Ballon d'Or ® 2012. Le seul Français de cette liste est sans surprise Karim Benzema (Real Madrid), tandis que le seul joueur évoluant en Ligue 1 est bien sûr Zlatan Ibrahimovic (PSG). La liste contient 7 Espagnols, 3 Italiens, 2 Argentins, 2 Ivoiriens, 2 Allemands, 1 Anglais, 1 Néerlandais, 1 Brésilien, 1 Français, 1 Suédois, 1 Colombien, 1 Portugais. Les noms des 3 finalistes seront communiqués lors d'une conférence de presse prévue à Sao Paulo (Brésil) le 29 novembre prochain. Découvrez d'ici là les 23 candidats à la succession de Lionel Messi dans les pages suivantes...

29 octobre 2012 | Publier un commentaire (7)
Iniesta, Messi, Xavi - Barcelone Ballon d'or
 
© Albert Gea / Reuters

samedi 27 octobre 2012

COUPE DU CAMEROUNE DEMI FINAL RETOUR

                      COUPE DU CAMEROUNE DEMI FINAL RETOUR


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UNISPORT DE BAFANG--- CAIMAN  "15H00" AU STADE DE BAFANG          
NEW STAR---- PANTHERE "15H00" AU STADE DE LA REUNIFICATION DOUALA
A la fin du match, il a fallu une intervention énergique des éléments du Groupement mobile d’intervention (Gmi) no 3 de Bafoussam pour faire sortir les arbitres de l’aire de jeu.
 Beaucoup d’échauffourées ont été observées hier après-midi au stade municipal de Bangangté. C’était à l’occasion du match aller des demi-finales de la coupe du Cameroun qui opposaient la Panthère sportive du Ndé à la formation de New Stars de Douala. A cause des suspicions et des croyances magico-religieuses, les joueurs de Gérard Mbimi n’ont pas directement accédé au stade à leur arrivée. Au motif que Panthère aurait fétiché l’entrée par laquelle ils devaient entrer. Une perte de temps qui a eu une conséquence logique avec le démarrage tardif de la rencontre. Même pendant la rencontre, on a vu un fanatique de la Panthère traverser la grille de sécurité par deux reprises pour aller s’en prendre à un membre du staff technique des visiteurs qui portait au dos un petit baluchon que beaucoup considérait comme le sac de la magie. Surtout que même pour qu’il ait accès au niveau de la main courante du stade, il a fallu l’intervention de Faustin Domkeu, président de New Stars et celle de Célestine Ketcha Courtes, président de la Panthère. C’est donc dans ce climat quelque peu surchauffé que l’arbitre central Mohamadou Mal Souley a donné le coup d’envoi de la rencontre qui a mobilisé au stade municipal de Bangangté près de 6000 spectateurs dont une centaine partis de Douala. En plus de vivre une demi-finale entre une équipe nouvellement accédée en division supérieure et la Panthère du Ndé, vainqueur en 2009, l’autre enjeu de cette rencontre est qu’elle opposait deux présidents natifs de Bangangté. Dans les rangs de la Panthère, on notait l’absence de deux joueurs titulaires, Kologni et Tela Nembot, le capitaine.
Dès l’entame de la partie, on a constaté la détermination des joueurs de Gérard Mbimi d’inscrire au moins un but à Bangangté, question d’assurer leur arrière à l’occasion du match retour qui va se jouer dans une semaine à Douala. A la 10e minute, les attaquants de la Panthère sont successivement passés à côtés de deux actions qui pouvaient être le déclic du match. Huit minutes plus tard, Nlo Eya, bien lancé dans le camp adverse, fait une frappe croisée qui passe à la lisière de la cage de Georges Bokwe, le gardien des visiteurs. A la 21e minute, c’est le capitaine Joseph Kameni qui tente en vain d’inquiéter le gardien de New Star, sur un tir canon qui passe malheureusement à côté. Jusque là, les poulains de Gérard Mbimi jouent sans toutefois paniquer. Ils passeront d’ailleurs à côté de l’ouverture du score à la 31e minute. Monté en suspension, Landry Ntankeu place de la tête le ballon sur la barre transversale du gardien Alain Tchoumte de la Panthère. A la 33e minute, New Stars revient à la charge avec une frappe de Thierry Makon qui fini sa course dans le petit filet. La pause intervient sur un sursaut d’orgueil de New Star avec une offensive menée par Ntankeu et Medjo déviée en corner par Alain Tchoumte. A la reprise, des changements sont opérés dans les deux camps ; avec l’entrée en jeu des attaquants. La partie gagne en intensité mais se joue beaucoup plus au milieu du terrain. Les deux gardiens vont de temps à autre mettre à contribution leurs talents pour enrayer quelques actions dangereuses. Le public de Bangangté pointe d’un doigt accusateur le trio arbitral de vouloir favoriser l’équipe adverse. Pour l’entraîneur de la Panthère, Fagnia Fagnia, « c’était un match très heurté. Quand on a en face de soi des équipes qui ont déjà pu arriver en demi-finale ce n’est toujours pas facile. Surtout que Gérard Mbimi est un très grand entraîneur. Nous allons encore travailler tout en tenant compte du fait qu’aucune des deux équipes n’a pris un but. Tout va sûrement se jouer à Douala ».
Au coup de sifflet final, il a fallu un déploiement tous azimuts des éléments du Gmi no 3 sur le terrain pour protéger les arbitres, face aux comportements anti-sportifs de quelques fanatiques de la Panthère. La présidente de la Panthère n’a pas aussi manqué d’interpeler ces supporter d’une autre époque. Ce qui a pu calmer les tensions jusque là observées. «On a quand même vu un esprit de fair-play sur le terrain ; même si derrière ce n’était pas du tout ça. Les gens ont donné tout ce qu’ils avaient comme réserve mais nous n’avons pas eu assez de chance sinon on pouvait mener avant la pause. Il faut aussi reconnaître que nous avons connu de périodes chaudes. Tout est à recommencer au match retour parce que chaque équipe aura 50% de chance devant elle», reconnaît Gérard Mbimi. L’espoir des supporters de Nzui Manto était celui de voir leur équipe inscrire au moins un but à domicile avant le match retour de Douala où Caïman est venu à bout, 2 buts à 0, de l’Unisport du Haut-Nkam, malheureux finaliste de 2011.
 
SOURCE   http://www.lanouvelleexpression.info
 

mardi 23 octobre 2012

Ligue des champions

Ligue des champions - Le "petit" Ribéry a bien grandi

Mardi soir (20h45), Franck Ribéry retrouvera Lille, club qui a tenté de le former. L’histoire s’est mal terminée. Mais l’international français a tourné la page et trouvé sa voie.

Franck Ribéry et Lille, on ne parlera pas d'histoire d'amour. Mais d'histoire commune, simplement. Avant de se retrouver face à face à mardi soir au Grand Stade, le joueur français et le club du nord se sont fréquentés assidûment durant quatre années. Arrivé au club en 1995, à l'âge de 12 ans, le futur international était alors une pierre brute, qui avait besoin d'être polie. Un adolescent turbulent, qu'il fallait cadrer. Ce que le LOSC a tenté de faire. Avant d'abandonner, "battu" par un jeune footballeur auquel le club ne croyait pas tellement, a affirmé Franck Ribéry, lundi en conférence de presse.
Pour Ribéry, son comportement n'est pas (uniquement) à l'origine de son renvoi du centre de formation de Lille. Il y a eu autre chose. Le club avait de gros doutes quant au potentiel du futur Messin. "Je n'ai eu qu'un seul problème. J'ai un peu chahuté et fait tomber une personne, qui  a eu le coude cassé et c'est là qu'on m'a viré, s'est-il remémoré en conférence de presse. Mais avant ça on voulait me virer parce que j'étais trop petit. (...) Ce n'était pas évident. J'étais 'facile' avec le ballon mais trop petit pour eux. Je suis quelqu'un qui ne lâche jamais rien. Je suis très content d'avoir réussi, en passant par d'autres chemins".
"L’odeur du nord"
Heureux de retrouver "l'odeur du nord" et nullement déçu ne n'avoir jamais joué à Lille avec les pros parce que l'intéressé évolue "quand même dans l'un des plus grands clubs au monde", Franck Ribéry a tourné la page. Jean-Michel Vandamme et Pierre Dréossi l'ont viré à l'époque ? Tant pis. Il a quand même grandi, au terme d’un parcours chaotique. Le LOSC aussi a pris son envol. Et cela lui va très bien. "Je suis très content de voir comment Lille grandit. Il y a de très bons joueurs même si beaucoup sont partis à l'étranger. Je suis très content pour les supporters. Et pour le nord".
Ce nord, définitivement particulier à ses yeux. Tout y a commencé. Et tout a recommencé avec les Bleus, au printemps dernier. C'était à Valenciennes. Réchauffé par l'accueil du Hainaut, après avoir signé une entrée et un dernier quart d'heure de haute-volée face à l'Islande (3-2), l'international français s'est débloqué. Et, depuis, ne déçoit plus. Une renaissance, dont ses partenaires au Bayern ne peuvent que se féliciter. Ribéry était à l’aise à Munich. Il est désormais bien partout. "On espère qu'il va continuer comme ça toute la saison. Franck, en tant que joueur, c'est la classe. Comme homme aussi, nous a confié le défenseur brésilien, Dante. Il veut toujours en faire plus, à l'entrainement comme en match. Il travaille comme un mort de faim chaque jour. Il a déjà un statut ici mais bosse comme un 'ouf'. Les jeunes peuvent le prendre en exemple." Il y a une quinzaine d’années, personne au LOSC n’aurait imaginé entendre ça au sujet du turbulent Franck Ribéry.

source  http://fr.sports.yahoo.com
      

lundi 22 octobre 2012

Football - Barcelone, Bayern et... Valenciennes, machines à buts


Football - Barcelone, Bayern et... Valenciennes, machines à buts

Il a plu des buts ce week-end en Europe. Quelques cadors, comme Barcelone, ont mis la main à la pâte. Tout comme Valenciennes. Les onze matches qu'il ne fallait pas manquer.

LA COROGNE - BARCELONE : 4-5 Liga - 8e journée
Le Riazor a été le théâtre d'un match de folie samedi soir. Barcelone s'y est imposé d'une courte tête devant La Corogne (4-5), après avoir pourtant pris le départ idéal en inscrivant trois buts dans les vingt premières minutes. En difficulté après l'expulsion de Javier Mascherano en début de seconde période, le Barça a pu compter sur l'incontournable Lionel Messi, auteur d'un triplé. Entre son  club et la sélection, l'Argentin a inscrit six buts en l'espace d'une semaine. Mais la formation catalane a aussi bénéficié de l'altruisme de Cesc Fabregas qui a délivré pas moins de trois passes décisives, un record en Liga cette saison.
DÜSSELDORF - BAYERN : 0-5 Bundesliga - 8e journée
Battre un record avec la manière, c'est la performance réussie par le Bayern Munich ce week-end. Le club bavarois s'est offert une victoire écrasante à Düsseldorf (0-5) pour devenir la première équipe à démarrer sa saison par huit succès consécutifs dans l'histoire de la Bundesliga. Franck Ribéry en a profité pour confirmer sa grande forme du moment. Avec trois passes décisives, le milieu offensif français a été l'un des grands artisans de la victoire du Bayern, solide leader en Allemagne avec cinq points d'avance sur l'Eintracht Francfort.
EVIAN - TOULOUSE : 0-4 Ligue 1 - 9e journée
A l'instar de Fabregas et Ribéry, Etienne Didot a lui aussi réussi une performance assez rare en réalisant trois passes décisives lors de la victoire de Toulouse à Evian (0-4). Particulièrement inspiré, le milieu toulousain a apporté une contribution importante au plus large succès enregistré par le TFC depuis qu'il est entraîné par Alain Casanova. Grâce à cette performance, les Toulousains ont enregistré un quatrième match consécutif sans défaite qui les place au pied du podium, et confirment leur excellent début de saison.
VALENCIENNES - LORIENT : 6-1 Ligue 1 - 9e journée
Le choc entre les deux équipes surprises du début de saison en France a tourné court. Et donné lieu à un match prolifique. Pas moins de trois buts dans le premier quart d'heure avant l'expulsion du défenseur lorientais Arnaud Le Lan (18e), qui a changé la face du match. Grâce notamment à des doublés de Vincent Aboubakar et Anthony Le Tallec, VA a fait exploser des Merlus jusque là invaincus (6-1), trois semaines après le brillant succès acquis sur l'OM (4-1). Impérial dans son Stade du Hainault, le club mérite amplement sa place dans le Top 5 de la Ligue 1.
DORTMUND - SCHALKE : 1-2 Bundesliga - 8e journée
La belle série d'invincibilité du Borussia Dortmund dans le "Ruhrpottderby" est désormais terminée. Samedi, lors de la 8e journée de Bundesliga, Schalke 04 a donc mis fin à plus de deux années de disette (depuis le 26 février 2010 exactement) dans le bouillant derby de la Ruhr en venant surprendre un BVB endormi et souvent pris de vitesse défensivement (1-2). Afellay (14e) et Höger (48e) ont mis sur orbite une formation de Schalke qui reste, depuis 2000, sur une belle série de sept succès en neuf rencontres au Signal Iduna Park. Le but en réaction de Lewandowski (55e) n'aura lui pas eu l'effet  escompté pour les hommes de Jürgen Klopp. Voilà donc le BVB, double champion d'Allemagne en titre, à douze points du Bayern Munich.
TOTTENHAM - CHELSEA : 2-4 Premier League - 8e journée
Oublié en sélection, incontournable en club. C'est un peu le résumé de la période traversée par Juan Manuel Mata. Contraint de regarder le match nul de la Roja face à la France (1-1) à la télévision, le numéro 10 de Chelsea s'est rappelé au bon souvenir de son sélectionneur en signant un doublé lors du derby remporté face à Tottenham à White Hart Lane (2-4). Avec quatre buts lors des trois dernières sorties des Blues, l'ancien joueur de Valence est l'homme en forme du leader de la Premier League, toujours invaincu cette saison.
MANCHESTER UNITED - STOKE CITY : 4-2 Premier League - 8e journée
Wayne Rooney a le sens des responsabilités. Après avoir eu le malheur de marquer contre son camp pour permettre à Stoke City d'ouvrir la marque, le buteur de Manchester United a admirablement réparé son erreur en signant un doublé pour contribuer au succès des Red Devils sur les Potters (4-2). Il fallait remonter à plus de onze ans en arrière pour retrouver la trace d'un joueur de Manchester United auteur d'un but et d'un but contre son camp au cours du même match. Il s'agissait de David Beckham, face à Blackburn, en août 2001.
JUVENTUS - NAPLES : 2-0 Serie A - 8e journée
Paul Pogba a bien choisi son moment. Arrivé cet été de Manchester United, le jeune milieu de terrain français a signé son tout premier but sous les couleurs bianconeri pour donner un break d'avance à la formation turinoise lors du choc au sommet de la Serie A face à Naples (2-0). L'ancien Havrais, qui avait remplacé Arturo Vidal quelques minutes auparavant alors que le score était de 0-0, y a mis la manière avec une belle reprise du pied gauche à l'entrée de la surface. Et l'invincible Juve pointe désormais seule en tête du classement.
LIVERPOOL - READING : 1-0 Premier League - 8e journée
Les Reds ne gagnent pas souvent cette saison. C'est déjà une bonne raison de parler d'eux, qui se sont imposés face à Reading (1-0) lors de la 8e journée. C'est seulement la deuxième victoire de Liverpool cette saison. L'autre raison tient à l'identité et surtout à l'âge du buteur, un certain Raheem Sterling. Le natif de Kingston a inscrit le seul but du match à Anfield. A 17 ans et 317 jours. Ce qui fait de lui le deuxième buteur le plus précoce de l'exceptionnelle histoire des Reds. Avant lui, seul un certain Michael Owen, Ballon d'Or 2001, avait fait mieux (17 ans et 143 jours).
GENOA - AS ROMA : 2-4 Serie A - 8e journée
Francesco Totti est éternel. A 36 ans, la star de la Roma a signé le 217e but de sa carrière en Serie A lors de la victoire de la Louve sur le terrain du Genoa (2-4). Une réalisation qui lui permet de devancer Giuseppe Meazza et Jose Altafini pour devenir le troisième meilleur buteur de l'histoire du championnat italien, derrière Silvio Piola (274) et Gunnar Nordahl (225). Et un but important, puisque c'est celui qui a initié la remontée des Giallorossi, menés 2-0 après un premier quart d'heure catastrophique. Encore une fois, Totti a rappelé qu'il était indispensable à la Roma. Et ça dure depuis des années.
LAZIO - MILAN : 3-2 Serie A - 8e journée
Plus de 70 ans. Il faut remonter à la saison 1941-1942 pour trouver la trace d'un début de parcours aussi chaotique de l'AC Milan dans le championnat italien. Face à la Lazio, l'équipe de Massimiliano Allegri a concédé sa cinquième défaite en seulement huit journées de Serie A (2-3). Elle a une nouvelle fois affiché ses lacunes en encaissant trois buts dans les 50 premières minutes de jeu, avant de réagir et de donner une ampleur moins importante à son revers avec des buts de Nigel de Jong et Stephen El Shaarawy. Mais cela ne change pas grand chose à la situation inconfortable des Rossoneri, quinzièmes au classement avec le même nombre de points que le premier relégable, Pescara.

dimanche 21 octobre 2012

RONI celebre son aniversaire

Premier League: Rooney celebrates anniversary in United win

Premier League, Old Trafford – Manchester United 4 (Rooney 27, 65, Van Persie 44, Welbeck 46) Stoke City 2 (Rooney 11 o.g., Kightly 58).

Wayne Rooney marked 10 years in the Premier League with a virtuoso performance in Manchester United’s 4-2 win at home to Stoke City.
Rooney, who announced himself to English football with a winner for Everton against Arsenal almost exactly a decade ago, scored two and created another as he led United’s comeback from an own-goal he had scored himself.
Robin van Persie and Danny Welbeck were also on target for the hosts, with Michael Kightly pulling it back to 3-2 before Rooney put the tie to bed.
United sit four points behind leaders Chelsea after the win, with Manchester City's late winner at West Brom keeping them level with their city rivals.
Stoke took the lead from one of their dreaded set-pieces, although it was not one of the “jolly green giants” – as Sir Alex Ferguson calls them – but Rooney who put Charlie Adam’s delivery past his own keeper after Paul Scholes had given away a needless free-kick. Not a good way to celebrate 10 years in the top flight.
Scholes was not having his best tackling game and was fortunate not to be sent off after a series of wild first-half challenges saw just one booking shown.
His passing was crisp as ever though as United dominated possession. Stoke, meanwhile, looked dangerous every time they went forward, David De Gea keeping out a surprise shot from Adam, Patrice Evra making a vital intervention as Jonathan Walters prepared to finish after another high ball caused problems, and De Gea again to the rescue as Walters smashed a shot from range after a delightful stepover from Kightly.
For United, Antonio Valencia somehow missed the three waiting United forwards when he got in space wide right, while Welbeck - the more central of the trio - dragged his finish wide after good interplay with the impressive Van Persie.
Finally United drew level, and it was a slightly better way for Rooney to enjoy his anniversary, meeting Van Persie’s left-wing cross with a flying header after starting the move with a fine pass to the Dutchman.
From that point it was all United, as Welbeck blasted over from Rooney’s pass before hitting the bar with an adventurous drive.
And the hosts took the lead just before the break with another neat goal, Van Persie adjusting his bodyshape beautifully to angle a first-time finish past Asmir Begovic after Valencia’s accurate low cross capped off a sweeping move from defence to attack.
United picked up where they left off, increasing their lead almost from the second-half restart as Rooney was given time and space to pick out a fantastic swerving cross that Welbeck dived in to head past Begovic, the Bosnia keeper exposed by Shawcross and Robert Huth’s poor marking once more.
The hosts were picking Stoke apart now, as Begovic pulled off a miracle stop to deny Jonny Evans’s header from another fine Rooney cross, while Welbeck was inches short of sliding home a brilliant cross-shot from Valencia.
But a big cat was thrown amongst the pigeons just before the hour mark as some terrible defending by United - capped off by a comical attempt to clear from Rio Ferdinand - allowed Kightly to bundle forward from halfway and roll in a finish off the inside of the post.
United did not have to wait long to restore their two-goal advantage when Rooney struck for a second time, a simple finish this time after Van Persie’s corner ricocheted around the box, Welbeck getting an accidental assist as it bounced off him last.
Michael Owen made an appearance against his former club and he almost pulled one back at a Potters corner, only to be denied by Van Persie’s vital block.
Otherwise it was a pretty timid finish as United eased off to see home the win and keep the pressure on Chelsea.
MAN OF THE MATCH
Wayne Rooney – Manchester United: Two goals, an assist and an own-goal to keep us guessing as he celebrated his decade in the Premier League with some style.
PLAYER RATINGS
MANCHESTER UNITED: De Gea 7, Rafael 6, Ferdinand 5, Evans 6, Evra 6, Scholes 6, Carrick 6, Valencia 7, Rooney 9, Welbeck 7, Van Persie 8. SUBS: Anderson 6, Hernandez N/A, Nani N/A
STOKE: Begovic 7, Cameron 6, Huth 5, Shawcross 5, Wilson 5, N'Zonzi 6, Whitehead 6, Walters 6, Adam 6, Kightly 7, Crouch 5. SUBS: Palacios N/A, Owen 6, Etherington 6
source:  http://uk.eurosport.yahoo.com

mercredi 17 octobre 2012

ouiiiiiiii le grand Chedjou


Chedjou : «Je n’étais pas blessé»
Article publié le 15 octobre 2012
chedjou-en-colere
 
C’est depuis les tribunes qu’Aurélien Chedjou a assisté à l’élimination du Cameroun face au Cap-Vert, dimanche, malgré la victoire des siens (2-1, 0-2 à l’aller). Pour la deuxième fois d’affilée, sa sélection ne sera pas à la CAN. «Forcément déçu», le défenseur lillois nous a pourtant assuré qu’il n’était pas blessé, comme annoncé un peu partout. Entretien. (Photo Presse-Sports)
«Aurélien, malgré sa courte victoire contre le Cap-Vert, dimanche (2-1), le Cameroun ne sera pas à la prochaine CAN. La déception doit être immense…
Forcément. Je suis très déçu, comme tous les Camerounais. Pour la deuxième fois d’affilée, on ne disputera pas la CAN. C’est dur… 
Surtout que vous étiez assez largement favoris lors du tirage au sort…
Oui, mais que ce soit contre le Cap-Vert ou n’importe qui d’autre, ça reste une contre-performance de manquer deux fois de suite cette compétition. Sans manquer de respect au Cap-Vert, sur le papier on était meilleur qu’eux, c’est donc encore plus rageant. Mais ils ont mérité leur qualification.

Vous n’étiez pas sur le terrain mais en tribune ce dimanche. Apparemment pour blessure…

Non, je ne suis pas blessé. Je ne sais pas pourquoi le coach et les médias ont dit que j’étais blessé, ce n’est pas vrai. J’ai eu un petit souci au genou cette semaine, j’ai fait un aller-retour à Douala pour faire une IRM, et il en est ressorti que j’avais un épanchement. Mais le médecin de la sélection m’a dit que je pouvais jouer et m’entraîner sans problème. J’ai appelé mon kiné à Lille qui m’a dit la même chose. Et je me suis entraîné normalement hier (samedi). J’étais opérationnel. Mais je n’ai pas été retenu dans la liste des 18. D’ailleurs, il y a eu hier une réunion avec le ministre pour connaître l’état de santé des joueurs, et le coach a dit que j’étais apte, comme Samuel (Eto’o) et d’autres qui avaient des petits bobos.

Savez-vous pourquoi le coach ne vous a pas retenu ?

C’est à lui qu’il faut poser la question. Mais je pense que c’est un choix, même si personne ne m’a rien dit…

«Le coach ? Bien sûr que je lui en veux»

Lui en voulez-vous ?
Bien sûr que je lui en veux. Je suis un compétiteur. Sans manquer de respect à ceux qui ont joué, ça fait un bon bout de temps que je joue avec Nico (Nkoulou) dans l’axe et on me retire de l’équipe sans me donner d’explication. Je ne dis pas que je suis meilleur que celui qui a joué (le Rennais Kana-Biyik), que ma présence aurait changé les choses, mais quand on retire un joueur de l’équipe, on lui donne des explications. Et quand j’apprends dans la presse que je suis blessé, j’ai les boules, surtout qu’on n’est pas qualifié… C’est son choix, il doit avoir de bonnes raisons. Mais il n’y a aucune polémique à faire, même s’il y a beaucoup de choses que je n’ai pas comprises cette semaine.
Lesquelles ?
Je ne peux pas vous dire. Ça doit rester entre nous.
Allez-vous lui demander des comptes ?
Non, je n’ai rien à lui demander. Je ne dis pas que je mérite de jouer mais je ne suis pas non plus le plus mauvais des Camerounais.
Cette élimination peut-elle faire du mal à la sélection camerounaise ?
Tout le monde est déçu, parce que le Cameroun est une grande nation de football. Mais il faut regarder ce qui n’a pas été pour pouvoir revenir plus forts.

Cette absence ne change donc rien pour votre avenir en sélection ?

Non, ne vous inquiétez pas. Je suis à la disposition de la sélection. Il n’y a pas de souci.»
Propos recueillis par Bruno RODRIGUES
France Football

L’équipe-type de l’Euro 2012


Iker Casillas et Sergio Ramos, les symboles d'une équipe espagnole qui sait aussi défendre. (Reuters)
Iker Casillas et Sergio Ramos, les symboles d'une équipe espagnole qui sait aussi défendre. (Reuters)
Sans surprise, cinq Espagnols figurent dans notre équipe-type de l’Euro 2012. Aux côtés de Casillas, Sergio Ramos, Jordi Alba, Silva et bien sûr Iniesta, meilleur joueur de cette compétition, le Tchèque Gebre Selassie, le Portugais Pepe, l’Allemand Khedira, l’Italien Balotelli et le Portugais Cristiano Ronaldo ont gagné leur place. Revue d’effectif.
Iker CASILLAS (Espagne, 31 ans)
Six matches, 570 minutes sur le terrain (prolongation contre le Portugal comprise) et un seul but encaissé : Iker Casillas, au sommet de son art, a été le grand gardien de cet Euro 2012 à un poste où la concurrence est pourtant de plus en plus sévère (Buffon, Hart, Lloris, Neuer, Cech…). Battu par Di Natale lors du premier match, le Madrilène n’a plus encaissé le moindre but ensuite, si ce n’est lors de la séance de tirs au but contre le Portugal en demi-finale. Une « loterie » qu’il a fait basculer du côté espagnol en arrêtant la tentative de Moutinho. Du grand art…
Theodor GEBRE SELASSIE (République tchèque, 25 ans)
Et dire que certains pseudo-supporteurs de la République tchèque ont osé le siffler en raison de sa couleur de peau. Non content d’être le meilleur joueur de son équipe, Theodor Gebre Selassie, latéral droit né en Tchécoslovaquie d’un père éthiopien, s’est révélé comme le plus performant à son poste lors de l’Euro 2012. Sa pointe de vitesse a fait des ravages. Offensivement pour se proposer comme solution de centres. Défensivement pour contrer les ailiers adverses, à l’instar de Cristiano Ronaldo en quart de finale, obligé de changer de couloir même s’il a fini par trouver l’ouverture de la tête en devançant le défenseur du Werder Brême.
PEPE (Portugal, 29 ans)
Le « chien fou » a mordu sans aboyer. Un peu de retenue, sans perdre pour autant son engagement, n’a pas fait de mal à Pepe, le rugueux défenseur central portugais du Real Madrid qui s’est imposé comme une référence à son poste. Si le Portugal a pris quatre buts lors de ses trois premiers matches, l’équipe lusitanienne a ensuite posé les verrous, même l’Espagne ne trouvant pas l’ouverture face à ce diable de Pepe.
SERGIO RAMOS (Espagne, 26 ans)
A 26 ans, il fait déjà figure de taulier. Exilé sur le côté droit lors des campagnes précédentes de l’Espagne, Sergio Ramos a complètement fait oublier l’absence de Carles Puyol lors de cet Euro 2012. Très propre dans ses interventions, rapide, bien placé, le Madrilène a régné en maître, contribuant largement à la solidité de la défense espagnole. S’il a déjà 92 sélections à son compteur, il ne devrait pas s’arrêter en si bon chemin…
JORDI ALBA (Espagne, 23 ans)
Et maintenant, ils ont des latéraux de classe mondiale ! Les Espagnols disposent d’une nouvelle arme dans leur équipe avec Jordi Alba. Bon défenseur, il est aussi une menace de plus offensivement, pour preuve son but en finale contre l’Italie sur un appel d’école dans la profondeur. Le Barça ne s’est pas trompé en récupérant celui qui évoluait à Valence depuis trois ans.
Sami KHEDIRA (Allemagne, 25 ans)
Au Real Madrid, il forme avec Xabi Alonso une paire équilibrée au milieu de terrain. Présent sur l’homme, il est aussi un relais efficace dans l’entrejeu, un joueur qui n’hésite pas à se porter vers l’avant pour faire parler sa puissance. Sa demi-volée victorieuse contre la Grèce (4-2) a éclairé sa compétition.
Andrea PIRLO (Italie, 33 ans)
A 33 ans, le milieu de terrain italien est loin d’être fini, quoiqu’en pense les dirigeants de l’AC Milan. Pirlo l’avait déjà prouvé cette saison en conduisant la Juventus Turin au titre en Serie A, il l’a rappelé en dirigeant la Squadra Azzurra avec une maîtrise et une classe folles lors de cet Euro. Sa vision du jeu et la qualité de sa passe en font un meneur de jeu redoutable. Respect !
Andres INIESTA (Espagne, 28 ans)
«Il a symbolisé ce tournoi à plus d’un titre, par ses courses et sa créativité, avec ou sans ballon.» Andy Roxburgh, le directeur technique de l’UEFA, membre du jury qui lui a décerné le titre de meilleur joueur de la compétition, ne pouvait mieux résumer l’Euro 2012 d’Andres Iniesta. Buteur en finale de la Coupe du monde, le Barcelonais, enfin débarrassé de ses pépins physiques, a pris le pouvoir en sélection. Et s’impose déjà comme le successeur du vieillissant Xavi.
David SILVA (Espagne, 26 ans)
Champion d’Angleterre en titre avec Manchester City, le petit Espagnol (1,72m) a déboulé en pleine confiance en sélection, s’imposant comme un titulaire indiscutable sur le côté droit. Déjà buteur contre l’Irlande (4-0), c’est lui qui a débloqué l’Espagne face à l’Italie en finale en coupant le centre tendu de Fabregas (4-0). Dans la lignée des Barcelonais, il est surtout un danger par ses appels et ses passes.
Mario BALOTELLI (Italie, 21 ans)
C’était l’un des benjamins de cet Euro 2012 et pourtant l’un des hommes les plus suivis. Précédé d’une réputation sulfureuse, l’attaquant de Manchester City est resté dans les clous lors de cette compétition. Et il fallait être diablement convaincu de sa force pour résister à la fois aux insultes inadmissibles, car à caractère racistes, dont il a été la victime mais aussi à un début de compétition compliqué, marqué par des échecs répétés devant le but. Sa récompense : un doublé en demi-finale contre l’Allemagne dont un but superbe.
Cristiano RONALDO (Portugal, 27 ans)
Passé à côté de ses deux premiers matches, le Madrilène s’est réveillé face aux Pays-Bas, s’offrant un doublé pour envoyer le Portugal en quarts de finale. Contre une valeureuse équipe tchèque, c’est encore lui qui a fait la différence pour qualifier les siens dans le dernier carré de l’Euro 2012. Ses retrouvailles avec les Espagnols étaient attendues. L’ancien Mancunien a pesé sur la défense adverse mais a baissé la tête avant même de tenter son tir au but. Il reste un joueur extrêmement dangereux qu’aucune équipe ne voudrait se priver.
Ils auraient pu en faire partie…
Parce qu’il nous a rappelé qu’il existait bien des gardiens en Angleterre, Joe Hart mérite une place sur le banc, au même titre que Gianluigi Buffon qui a conduit l’Italie en finale. En défense, l’Allemand Philipp Lahm, malgré le nouvel échec de sa génération, et le Portugais Bruno Alves ont fait une belle compétition. Au milieu, l’Anglais Steven Gerrard, capitaine exemplaire, l’Espagnol Xavi et le Français Yohan Cabaye, parce qu’il est peut-être la seule lueur d’espoir dans le ciel très sombre en France, auraient pu prétendre à une place dans cette équipe. Devant, le Portugais Nani, qui s’est mis au diapason de Cristiano Ronaldo, le Suédois Zlatan Ibrahimovic, pour son seul but contre la France, et l’Ukrainien Andrey Shevchenko, admirable de courage et de fierté, sont des doublures potentielles, à l’instar de Cesc Fabregas, qui a fait un gros tournoi dans un rôle contre nature.

dimanche 14 octobre 2012

ouffffffff CAMEROUN

Cameroun/match Cameroun-Cap Vert : Les lions indomptables éliminés

Cameroun/match Cameroun-Cap Vert : Les lions indomptables éliminésMalgré la victoire 2-1 contre le Cap Vert , Samuel Eto`o et les lions indomptables n´iront pas  deux fois de suite á une coupe d´Afrique  des Nations de football. Le coach Jean-Paul Akono venu en sapeur-pompier n´a rien pu.
Le miracle ne s´est pas produit.
Avant le coup d´envoi, Song  Bahanak et tous les lions se sont réunis autour du rond central oú Nicolas Nkoulou a offiiciellement remis le brassard á Samuel Etoò; un geste  que le nombreux public a longuement salué .Scénario  quasi-identique á la fin du match, mais pas de remise de brassard cette fois-ci. Cependant on a noté une forte militarisation autour du stade Ahmadou Ahidjo; une forte pluie s´abat  sur une ville de Yaoundé calme.
Cette élimination en remet sur la table le problème qui mine le sport camerounais en général, son football en particulier, en chute libre depuis belle lurette.
Nous y reviendrons.
© camer.be : issa-behalal

jeudi 11 octobre 2012

Eto'o blessé

Cameroun : Eto'o blessé ?

© CAMEROUN / LIONS INDOMPTABLES Cameroun : Eto'o blessé ?

Rédaction Football365.fr / FootSud
mercredi 10 octobre 2012 - 15h18
Absent de l'entraînement du Cameroun mercredi matin, Samuel Eto'o a été laissé au repos par précaution suite à un choc subi mardi avec un coéquipier. L'état de santé de l'attaquant n'inquiète pas le staff des Lions Indomptables.  

Samuel Eto’o fils était le grand absent de la troisième séance d’entraînement effectuée par l’équipe nationale ce mercredi matin au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. Intrigué par cette absence, de nombreux de fans présents mardi soir à la deuxième séance d’entraînement ont vite fait le rapport avec le choc qu’a eu l’attaquant d’Anzhi Makachkala avec un coéquipier pendant un exercice d’application. A la suite de ce choc, le quadruple Ballon d’Or a quitté l’aire de jeu. Il n’y est plus revenu jusqu’à ce matin. « Samuel Eto’o n’a aucun problème. Il a eu un petit bobo et le médecin a décidé de le laisser au repos ce matin. Il n’y a rien de grave, pas de quoi s’alarmer », tranche Linus Pascal Fouda, l’attaché de presse de la sélection.

Après l’entraînement de ce mercredi matin, le coach Jean-Paul Akono va retourner avec ses poulains au stade Ahmadou Ahidjo en début de soirée pour un match d’évaluation contre Jeunesse de Ngoulmekong. Les Lions indomptables préparent ainsi la réception des Requins Bleus du Cap-Vert dans le cadre de la manche retour du dernier tour des éliminatoires de la CAN 2013, dimanche prochain à Yaoundé.

Paul Nana (Rédaction Football365/FootSudhttp://info-foo-foo-foott.blogspot.com 

mercredi 10 octobre 2012

GIgnac abrsent

Un Grand Absent

C'est un 10 octobre qu'André Pierre Gignac marqua un doublé en équipe de France devant les îles Féroé. Et aujourd'hui Gignac est le grand absent d'une sélection tricolore qu'il aurait mérité d'honorer.
Ah, le mérite! Ca vaut bien un petit tour dans le dictionnaire! Mérite : ce qui rend quelqu'un digne d'estime. Gignac est aujourd'hui, plus qu'hier et tout autant qu'avant-hier, digne d'estime. Il s'arrache, il travaille, il marque des buts, des buts importants et il ne peut qu'être associé au bon début de saison de l'OM. Il est loin le temps où le Martegal de naissance se faisait démolir par la presse, par les supporters, et les vieux démons resurgissaient. Gignac, et ses cousins, Mollo, Abardonado, gens du voyage et j'en passe. Il est loin le temps plus agréable où, avec Lorient, il inscrit un triplé pour son premier match en Ligue 1 comme le fit a une certaine époque, Pauleta, contre le même adversaire, le FC Nantes. Un pré-contrat avec Lille, un virage à Toulouse finalement, six doublés, le tombeur du record de buts d'un Toulousain (Yannick Stopyra) tombe, Gignac transperce 24 fois les filets. L'OM met dix huit millions sur la table et tout bascule sur un poteau. Dédé réalise son rêve, lui le voisin de Martigues, de porter le maillot de l'OM. Le poteau, il le touche contre le Spartak Moscou, et l'OM perd un à zéro. Quinze jours plus tard, il marque son premier but contre Saint-Etienne. L'équipe de France arrive, une passe décisive pour Ribéry contre la Lituanie, un premier but face aux îles Féroé, et ce doublé un dix octobre.

Aujourd'hui Gignac, bien préparé, bien mentalement, s'est fondu dans l'état d'esprit d'un club calme comme ses résultats, sûr de sa force, débarassé de toute étiquette. L'OM n'est favori de rien, en rien. Marseille trace sa route, Gignac la sienne, et elles sont parallèles. Les matchs passent, les filets tremblent, et Dédé met souvent le pouce dans sa bouche, signal à son fil,s André Pierre Junior, quand il fête sa réussite. Le buteur est revenu, revenu de l'enfer, celui des blessures, des vagues à l'âme, des caricatures, des clichés! Continues Dédé, cette année est la tienne. Et l'équipe de France est tout près de chez toi. Tu le mérites !


Denis Balbir

mardi 9 octobre 2012

vite repondez a cette quetion de coeur

ZIDANE Zinedine

Que pensez-vous de
Zinedine ZIDANE ?

Donnez votre avis sur la vie de Zinedine ZIDANE !
Qui représente Zinedine ZIDANE pour vous ?
Vous l'aimez ? Vous détestez ? Pourquoi ? Racontez-nous :

dimanche 7 octobre 2012

Anji Makhachkala 2 - 0 Young Boys Bern Doublé de Samuel Eto'o

League Europa: Anji Makhachkala 2 - 0 Young Boys Bern Doublé de Samuel Eto'o

ETO'O... LA JOIE RETROUVEE A ANZHI, TRES LOIN DES LIONS INDOMPTABLESAnzhi a remporté son match de la deuxieme journée de la phase de groupe de la League Europa en prenant le dessus sur les suisses du Young Boys de Bern.2-0
Apres une premiere periode decevante, les russes sont revenus avec plus de determination et ont logiquement ouvert le score sur un penalty de Samuel Eto'o suite à une faute de main. Le coup de grace est venu une fois encore de l'homme qui rejoindra les lions à la demande de la plus haute autorité du cameroun.
Lassana Diarra fraichement appelé par Deschamps a encore été intraitable dans l'entre jeu de Anzhi.
score final Anzhi 2 Young Boys 0

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